看似毫无联系的两起自杀案件,媚薬却将所有的疑点指向了一位著名画家。而正当警方锁定杀人凶手时,媚薬却发现嫌疑人画家已经跳楼自杀。危机并没有结束。案件陷入了前所未有的困境,唯一的线索只剩下嫌疑人画家的前妻。死去的画家,隐藏幕后的凶手,陷入困局的警察,一个患有创伤后应激障碍的女人,一桩陈年旧事。一个巨大的秘密和一场骇人的罪恶逐渐露出水面。所以真相到底是什么?你看见的就一定是真相吗?
看似毫无联系的两起自杀案件,媚薬却将所有的疑点指向了一位著名画家。而正当警方锁定杀人凶手时,媚薬却发现嫌疑人画家已经跳楼自杀。危机并没有结束。案件陷入了前所未有的困境,唯一的线索只剩下嫌疑人画家的前妻。死去的画家,隐藏幕后的凶手,陷入困局的警察,一个患有创伤后应激障碍的女人,一桩陈年旧事。一个巨大的秘密和一场骇人的罪恶逐渐露出水面。所以真相到底是什么?你看见的就一定是真相吗?
回复 :德国小镇,面目狰狞的卡里加里博士(沃纳·克劳斯 Werner Krauss饰)终于获准表演催眠术。大学生弗朗西斯(弗里德里希·费赫尔 Friedrich Feher饰)和艾伦(汉斯·海因里希 Hans Heinrich von Twardowski饰)也来观看。疯狂的卡里加里博士向众人展示他是如何催眠和控制他的搭档凯撒(康拉德·韦特 Conrad Veidt饰),并向众人宣布:凯撒可以回答大家提出的所有问题。好奇的艾伦问道:我能活多久?病态的凯撒回答:活到明天凌晨。弗朗西斯并不相信,可艾伦却是满脸惊恐。随之,艾伦真的被杀害了。弗朗西斯把消息告诉了好朋友珍妮(丽尔·达戈沃 Lil Dagover饰)和她的医生父亲。他们展开了多方追捕,可惊人的秘密却丝丝入扣,到底谁才是真正的凶手?本片是世界电影史上被谈论得最多的影片之一,是德国表现主义电影的里程碑之作。影片以其怪诞的表现主义风格,成为以后西方恐怖片为之效仿的鼻祖。1958年本片在比利时布鲁塞尔由26个国家117位电影史家评选为“世界电影12佳作”的第12名。
回复 :Walden (Diaries, Notes & Sketches) de Jonas Mekas États-Unis, 1969, 16mm, 180’, nb et coul., vostf filmé entre 1964 et1968, monté en 1968-1969Walden est le premier des journaux de Jonas Mekas, rassemblés sous le titre générique Diaries, Notes & Sketches – le premier monté, même si Lost Lost Lost, achevé en 1976, montre la période précédente, de 1949 à 1963.« Depuis 1950, je n’ai cessé de tenir mon journal filmé. Je me promenais avec ma Bolex en réagissant à la réalité immédiate : situations, amis, New York, saisons. […] Walden contient le matériel tourné de 1964 à 1968 monté dans l’ordre chronologique. La bande-son utilise les sons enregistrés à la même époque : voix, métro, bruits de rues, un peu de Chopin (je suis un romantique) et d’autres sons, significatifs ou non. »Jonas Mekas« Je n’ai pas disposé de ces longues plages de temps nécessaires à la préparation d’un scénario, puis au tournage, puis au montage, etc. Je n’ai eu que des bribes de temps qui ne m’ont permis de tourner que des bribes de film. Toute mon œuvre personnelle est devenue comme une série de notes. Je me disais : je vais faire tout ce que je peux aujourd’hui, parce que sinon je ne trouverai pas d’autre moment libre avant des semaines. Si je peux filmer une minute, je filme une minute. Si je peux filmer dix secondes, je filme dix secondes. Je prends ce que je peux, désespérément. Mais pendant longtemps, je n’ai pas visionné ce que je filmais et emmagasinais ainsi. Je me disais que tout ce que je faisais, c’était de l’entraînement. »Jonas Mekas, 1972« Walden de Jonas Mekas s’impose, près de trente ans plus tard, comme un document cinématographique essentiel de la vie artistique new-yorkaise à l’une de ses époques les plus grandioses. Sans jamais choquer ni se confesser, Mekas a imprégné chaque instant de ce très long film des nuances de sa personnalité. Parmi un vaste éventail de personnages, pour la plupart non nommés ou simplement appelés par leur prénom – bien que certains soient mondialement célèbres –, le seul portrait psychologique est celui du cinéaste lui-même : un poète lituanien exilé, fasciné et torturé par sa lente américanisation. Le film est dominé par un rythme staccato nerveux qui s’épanche régulièrement en grandes exaltations. En accumulant massivement des images, Mekas s’est constitué des archives uniques en leur genre pour assembler ce journal visuel, le premier d’une longue série. Aucun autre film ne restitue à ce point la sensation propre à ce temps et à ce lieu, telle qu’on peut la retrouver en regardant le film aujourd’hui. En tant que personnage secondaire apparaissant régulièrement devant la caméra de mon ami, je suis conscient combien sa représentation des autres reste fragmentaire et elliptique, et cependant ces images sont devenues pour moi les indices visuels les plus forts de la personne que j’étais il y a trente ans. Ceci est peut-être la clé de l’œuvre de Mekas : sa découverte d’une forme cinématographique laissant transparaître ses changements d’humeur, sans imposer un masque cohérent de lui-même. Il a ainsi construit une oeuvre qui laisse les autres apparaître dans leur ambiguïté phénoménale. »P. Adams Sitney, 1996, Le Livre de Walden, éd. Paris Expérimental, 1997« Disons que, cinématographiquement parlant, il n’y a peut-être rien de plus beau que les trois premiers plans de Walden : des arbres dans un parc bleuté par les reflets du soleil d’hiver, la neige et l’aube du printemps ; du temps, proustien ou haché en haïku, du temps qui tient dans la main, du souvenir partout. »Philippe Azoury, « Vivace Jonas Mekas », Libération, 31 octobre 2000
回复 :一部非常具有匈牙利特点的电影,无论是人物的服装,周围的环境还是影片要表达的主旨上都是典型的匈牙利风格。英国电影评论家David Robinson曾经断言这部影片在2000年以前从未在匈牙利以外的任何国家被广泛接受过,因为很多匈牙利人相信这部影片太过本土化而并不能得到其他国家人们的理解和认同。然而电影是超越国界的语言,我们会被其中任何一点优秀的品质所打动,Huszarik的改编和萨拉的摄影都是非传统的,色彩斑斓的,并且是有创造力的,这就已经足够了。影片表达的是对生命的赞美,描绘自然界中生命的循环往复和人们追忆旧梦时光时的感叹,并在正常的情节发展过程中搀入了男女主角无序的回忆片断,关于他们曾经放荡不羁的爱情生活,影像如油画般精美(Huszarik同时也是一位著名的画家)。1972年曼海姆-海登堡国际电影节约瑟夫·冯·斯特恩伯格奖1988年入选匈牙利现代电影50年十佳影片